
L’état d’esprit des entrepreneurs en marketing de réseau : interview avec Dialine Feuillet
S’il y a un sujet dont j’aime parler, c’est le mindset, l’état d’esprit.
Il touche énormément de domaines.
C’est grâce à lui que nous allons oser, que nous allons avancer, que nous allons nous dépasser. C’est grâce à lui que nous allons nous remettre en question, observer, écouter ce qui nous entoure. C’est grâce à lui encore, que nous allons prendre des décisions, que nous allons apprendre sur nous et nous dévoiler.
Le mindset est cet outil puissant qui gère notre façon de penser et de voir les choses.
Il y a quelques jours, j’ai posé quelques questions à Dialine Feuillet, entrepreneure spécialisée en webmarking et jeune networkeuse, sur l’état d’esprit des entrepreneurs en marketing de réseau.
Voici la retranscription de cette interview (vous pouvez voir la vidéo de l’interview à la fin de cet article)
Avant d’aller plus loin, je voulais te poser une question : as-tu déjà rêvé d’attirer tes futurs filleuls facilement sur Facebook ? Tu en conviendras, pas de prospects = pas de filleuls = pas de business. Il existe une autre stratégie pour te développer : prends quelques secondes pour t’inscrire et découvrir la méthode qui me permet d’attirer 210 prospects par mois sur Facebook ! Comme moi, tu en as surement assez de perdre ton temps à parler à tout le monde ou de poster dans 10 groupes par jour sans résultat. C’est épuisant et ça ne te correspond pas. Découvre gratuitement comment j’attire facilement mes prospects grâce à Facebook. => Recevoir la stratégie pour attirer 210 prospects par mois avec Facebook
Bonjour Dialine, peux-tu te présenter pour les personnes qui ne te connaissent pas encore ?
Je suis Dialine Feuillet. Je suis entrepreneure depuis 2012.
J’ai fait plusieurs choses, principalement du coaching. J‘ai aussi géré un centre de coworking consacré aux thérapeutes.
J‘ai fait de l’activité hors ligne ; j’ai fait de l’activité en ligne.
J‘ai accompagné énormément sur la confiance en soi et pour les femmes entrepreneures qui lancent leur activité, qui veulent gagner en confiance en elles.
Il y a une notion qui est très importante pour moi, c’est la notion de liberté.
Pouvoir gérer mon temps comme je le souhaite.
Mon idéal, c’est de pouvoir choisir de travailler ou pas (même si j’adore mon travail). J‘ai toujours aimé les métiers que j’ai fait.
C’est pour ça que je cherche des moyens pour arriver à cet objectif. J‘y suis parvenue, j’en ai trouvé. Entre autres l’immobilier, le coaching et dernièrement le marketing de réseau.
C‘est un système qui est vraiment différent de ce que je faisais avant, mais c’est extrêmement épanouissant.

On te voit super motivée, tu as toujours ce sourire. Quel est ton moteur au quotidien et qui fait que tu te lèves le matin, que tu as envie d'y aller ?
Aujourd’hui j’ai la chance de travailler avec une super équipe.
Je suis entourée de personnes qui sont top, qui sont formidables, qui sont merveilleuses, que j’admire, que j’aime, que j’apprécie, avec lesquelles j’aime être.
C’est pas forcément des gens qui sont en contact direct avec moi, parce que je travaille énormément en ligne avec des zooms, des skypes, par téléphone et sur les réseaux sociaux. Il y en a même que je n’ai jamais vus physiquement !
Mais il y a vraiment quelque chose qui se passe dans le coeur.
Ce qui me réjouit vraiment, c’est toutes les connexions que je vais faire dans une journée.
Quand on est entrepreneur, on peut sentir un peu seul. J‘ai aussi connu ça, la solitude de l’entrepreneur.
Là, je n’ai pas ça, au contraire. J‘ai plein de connaissances et ça me donne le sourire.
Ce qui me donne le sourire, c’est ce que je fais à proprement parler. Parce que quand on aime ce qu’on fait, on se lève le matin, on a envie, on a hâte, on sait qu’il va se passer plein de choses, même des imprévus.
Parfois les gens vont nous dire « ça ne te décourage pas ? » Si, c’est pénible, mais il faut juste que je trouve une solution.
Donc voilà, c’est ça qui me donne le sourire, le smile, la motivation.
Et puis, je suis persuadée que tout est possible pour celles qui osent, donc je sais que, quoi que je veuille, quoique tu veuilles toi Cécile, quoique veuillent les personnes qui nous écoutent, elles peuvent l’atteindre.
C‘est pas en claquant des doigts. C‘est pas juste en priant et se disant « il faut que ça vienne ». Non, il faut mettre en place des actions. En mettant en place des actions, en ayant une stratégie, tout est possible.
Tu as une équipe qui s'appelle les Intrépides. Tu as même déposé la marque Les Intrépides. Qu’est-ce qu’il faut pour être une Intrépide ?
A la base il faut être une femme.
J‘adore les hommes, pour plein de qualités, pour plein de raisons. Mais c’est vrai qu’on est dans une société où on parle encore des inégalités entre les hommes et les femmes, notamment au niveau des salaires et des revenus.
Beaucoup de femmes ont des croyances limitantes. Là, ça n’a rien à voir avec le comportement des hommes. Ce sont des croyances limitantes par rapport à leur potentiel, à leurs capacités.
Elles ont des difficultés à parler de l’argent, à assumer avoir de l’ambition professionnelle.
Je suis une personne ambitieuse, dans le bon sens du terme. C‘est à dire que pour moi l’argent c’est un moyen. Ca permet de faire quelque chose. Du coup, plus j’en ai, mieux c’est, parce que comme ça je n’ai pas à m’en préoccuper. Je ne vais pas courir après, mais c’est beaucoup plus simple dans ce sens là.
Du coup j’aime bien aider les femmes à lever leurs blocages par rapport aux finances, à les aider à atteindre leur indépendance financière.
Donc pour être une Intrépide, il faut être ok pour travailler son rapport à l’argent, et être ok pour se dire » j’ai envie de créer ma propre indépendance », même si tu es en couple et que ton conjoint équilibre les finances.
Peut-être même que c’est lui qui paie la plupart des choses. Mais tu sais qu’aujourd’hui tu peux toi-même avoir plus de revenus que ton conjoint. Tu peux être celle qui apporte le maximum de ressources dans ton foyer si tu le souhaites.
Tu peux te dire, demain j’ai envie de faire une semaine de vacances avec des copines et puis tu y vas. Et tu n’as pas à te poser de questions.
Donc pour être une Intrépide, il faut avoir envie de créer sa propre indépendance financière.
Il faut aimer le partage, parce qu’on partage des choses ensemble.
Il faut être coachable, comme on dit, parce que ça veut dire intégrer mon équipe dans le marketing relationnel. Et quand on intègre l’équipe, j’accueille et je forme les personnes. Donc il faut qu’elles puissent être coachables.
Voilà, c’est avoir des valeurs, mais des valeurs que tellement de femmes ont.
Dans le marketing de réseau, déjà si tu es une femme… C‘est une industrie où 80% des personnes sont des femmes, plus de 60% des leaders sont des femmes.
Dans quelle industrie on retrouve ces schémas là ? Il n’y en a pas !
Tu peux concilier cela avec ta vie perso, ta vie pro, tes enfants. Tu peux travailler à domicile, tu peux travailler à l’extérieur.
C’est ça être une Intrépide, c’est prendre conscience de tous ces atouts, faire partie de mon équipe en marketing relationnel et puis qu’on travaille ensemble et qu’on réussisse ensemble.
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Plus généralement, d'après toi, quels sont les points importants qui font qu’une personne va réussir dans le marketing de réseau et qu'une autre ne va pas réussir, va peut-être abandonner en cours de route.
Le point numéro un pour moi c’est la persévérance.
Clairement, la persévérance. Parce qu’en marketing de réseau il y a des croyances qui sont véhiculées comme quoi on entre dans le marketing de réseau et c’est hyper facile, c’est hyper simple, et on va réussir en un mois ou deux.
Honnêtement, c’est pas grave d’être spammés de ce genre de discours. C‘est pas grave, parce que finalement ça fait vendre. C‘est juste du marketing.
Il faut faire la part des choses, c’est juste du marketing. C‘est pour qu’on y aille.
Ca vous est peut-être déjà arrivé d’acheter une formation à un très gros prix et finalement, soit ne pas la faire, soit de pas voir les résultats. Mais le marketing était tellement bon qu’on n’y a été.
Une fois que vous êtes dedans, il faut vraiment parler avec la personne qui va vous accompagner, pour mettre en place un plan qui soit réaliste.
Quand on crée une « vraie société », classique, en dur, des fois on met des fonds : 5000, 10000, 20000€. Donc déjà la personne se dit : « pour que mon entreprise grandisse et vive, il faut que j’investisse dedans ».
Il y a plein de gens en marketing de réseau qui ne prennent pas conscience de ça. Donc ils sont tout petits.
Comment je peux rentrer sans dépenser d’argent ? Non !
Attends, tu sais quoi ? Tu vas avoir un numéro siret ! Tu vas avoir un statut professionnel. Tu deviens entrepreneur.
Alors justement, il y a beaucoup moins de nébuleuse que quand on crée une société classique, mais toutefois il faut bien prendre conscience qu’on est entrepreneur.
Il faut investir sur soi et il faut se donner du temps.
Souvent on dit qu’il faut deux à trois ans pour qu’une entreprise prenne son envol. Alors pourquoi dans le marketing de réseau on voudrait que ce soit deux à trois mois ? Non !
C’est à la fois être persévérant, investir sur soi, ne pas lâcher l’affaire. Il faut chercher à comprendre comment ça fonctionne.
Je pense aussi qu’il faut rester soi-même, accepter petit à petit de se révéler et de laisser rayonner son leadership.
Je suis la première convaincue que les femmes ont un leadership hyper puissant, pour beaucoup un leadership naturel. Et il faut accepter petit à petit de prendre sa place. Je pense que ça peut être une clé du succès.
Dernière question : quels conseils tu donnerais à une personne qui hésite à se lancer dans le marketing de réseau ?
Honnêtement, reste zen !
C’est pas si secret que ça. Ce n‘est pas si énigmatique que ça.
C‘est un peu différent de ce qu’on connaît, mais c’est un système qui fonctionne déjà. C’est un système qui a déjà fait ses preuves.
Si tu hésites, prends le temps de réfléchir.
Il y a beaucoup de personnes auxquelles on parle du marketing de réseau aujourd’hui, ça chemine, ça chemine, et en fait elles y reviennent plusieurs mois après, trois ans, cinq ans, même dix ans après.
La première fois qu’on m’a parlé de marketing de réseau, j’étais étudiante à l’université. Je devais avoir 19 ans, donc ça fait plus de dix ans.
C’est pour ça, je dirais reste zen.
Après, choisis bien ta société, choisis bien ton leader.
C’est vrai qu’aujourd’hui je travaille de manière un peu différente. J‘ai mis en place un système. Je fais travailler avec les réseaux sociaux, avec internet, mais aussi pour des personnes qui préfèrent être hors ligne.
Donc j’ai vraiment toute une stratégie qui permet aux personnes d’être bien accueillies, bien coachées.
Mais dans toutes les sociétés, il y a des systèmes de formations et des leaders qui se saisissent de cela et qui apportent des choses en plus.
Donc voilà, reste zen, prends ton temps, expérimente, teste. Viens, sois curieux. Choisis la société, choisis la personne. Fais-toi confiance. Et quand c’est le bon moment et bien, lance-toi !
Pour finir, est ce que tu voudrais dire un dernier mot ? Est-ce que tu aurais un dernier conseil pour les personnes qui vont nous regarder ?
Oui, ce que je peux vous dire c’est que si vous êtes une femme, qu’aujourd’hui vous aspirez à révéler le meilleur de vous-même, à devenir indépendante, à avoir plus de libertés personnelles, à faire partie d’une équipe ou d’un groupe, pourquoi ne pas envisager le marketing relationnel.
Il y a plusieurs secteurs, je ne suis pas là pour prêcher pour ma paroisse.
Il y a des secteurs dans le voyage, des secteurs dans les vêtements, des secteurs dans les bijoux, dans la cosmétique, etc.
Donc voilà, selon vos affinités.
Franchement croyez en vous. Et vous méritez ! Prenez conscience que vous méritez d’être des femmes indépendantes, assumées.
Donc du coup, un dernier conseil : osez !
Vous pouvez retrouver l’intégralité de cette interview avec Dialine Feuillet dans la vidéo ci-dessous.
Vous pouvez désormais retrouver Dialine sur son groupe Facebook Objectif Rentière
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C’était « L’état d’esprit des entrepreneurs en marketing de réseau : interview avec Dialine Feuillet » !
Vivez enfin la vie que vous méritez de vivre ! Cécile Ferrut
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2 commentaires
Priscillia
Bonjour Cécile,
Merci pour cet interview vraiment enrichissant.
Je suis ravie d’avoir découvert Dialine Feuillet, son parcours et ses conseils sur le mindset, l’état d’esprit des entrepreneurs.
Je suis à 100 % d’accord avec ce que Dialine explique : il fait être patient et persévérant en marketing de réseau. Il faut des mois voir des années pour réussir. Il ne faut pas lacher l’affaire, continuer à développer ses compétences et son leadership.
Les femmes ont beaucoup de compétences à partager et nous ne devons pas nous « brider ».
Le marketing de réseau est un domaine où, je suis convaincue, chaque femme peut s’épanouir.
Merci encore pour ce partage.
J’attends avec impatience tes prochains interviews.
Amicalement.
Cécile
Salut Priscillia,
Merci à toi pour ton commentaire.
Effectivement, les femmes ont un bel espace de développement dans le marketing de réseau.
Tout est une question d’état d’esprit et de se donner l’autorisation de réussir.
Bien à toi,
Cécile